25.10.2013
« Film-limite, qui ne cesse de glisser sur la lisière qui sépare l’obscène du merveilleux parce que le regard de Kechiche se tient lui-même sur une frontière dangereuse: ce film qui mange des yeux son personnage fait sourdre le caractère vorace du regard de son auteur, mais c’est justement courir ce risque de la prédation qui rend possible l’émotion d’une apparition. »
Et si vous voulez connaitre plus sur le film, nous vous invitons à découvrir le dossier spécial dans le dernier numéro de la revue "Cahiers du cinéma" disponible à la médiathèque de l'IFU: http://www.cahiersducinema.com/Octobre-2013-no693.html