En novembre, l'Institut Français d'Ukraine fête le cinéma documentaire !
Pendant le mois du film documentaire, l'Institut Français d’Ukraine vous réserve quelques uns des plus beaux documentaires français pour son ciné-club de novembre.
Société, éducation, culture... Laissez de côté la fiction, plongez dans la réalité !
le lundi à 19h00
cinéme KIEV / 19, rue Velyka Vasylkivska
Entrée: 30 uah
09/11
Comment j’ai détesté les maths
D’Olivier Peyon
Documentaire / France / 2013 / 103’
Sous-titres russes
Comment les maths en sont-elles arrivées à souffrir d’une telle désaffection au moment même où elles dirigent le monde ? À travers un voyage aux quatre coins du monde avec les plus grands mathématiciens, ce film nous raconte comment les mathématiques ont bouleversé notre monde, pour le meilleur... et parfois pour le pire.
16/11
Odessa... Odessa!
De Michale Boganim
Documentaire / France / 2004 / 102’
Sous-titres Ukrainiens
Ils sont partis en Israël ou à New-York, mais leur ville-mère est toujours ancrée au nord de la mer Noire, à Odessa. Des rues désertes et poussiéreuses de la ville jusqu'aux rives plus proches de la modernité, un portrait intime de ce qui fait plus qu'une ville : des racines. Et une réflexion mélancolique et lumineuse sur les juifs d’Odessa.
23/11
La vierge, les coptes et moi
De Namir Abdel Messeeh
Documentaire / France / 2011 / 91’
Sous-titres russes
Namir part en Egypte, son pays d’origine, faire un film sur les apparitions de la Vierge au sein de la communauté copte chrétienne. Comme le dit sa mère, «il y a des gens qui la voient, il y a des gens qui ne la voient pas. Il y a peut-être un message dans tout ça». Très vite l’enquête sert de prétexte pour revoir sa famille, et pour impliquer tout le village dans une rocambolesque mise en scène
30/11
Entre nos mains
De Mariana Otero
Documentaire / France / 2010 / 88’
Sous-titres Ukrainiens
Pour sauver leur emploi, des femmes décident de reprendre le pouvoir dans leur entreprise de lingerie en créant une coopérative. Au gré des épreuves et des rebondissements, elles découvrent avec bonheur et humour la force du collectif, de la solidarité et une nouvelle liberté.