À l’occasion de la Journée internationale de la femme et de la Fête du court métrage, la jeune création féminine est à l’honneur avec deux programmes de courts métrages.
PROGRAMME 1
Les Filles, de Alice Douard, 28 minutes
C’est l’été. Charlotte travaille au péage de l’autoroute du sud et s’entraîne pour le match de foot amateur qu’organise sa sœur Nath.
Vie et mort de l'illustre Grigori Efimovitch Raspoutine, de Céline Devaux, 11 minutes
Au début du XXème siècle, un moine errant, Raspoutine arrive à la cour des tsars de Russie. Négligé et lubrique, le moujik s'introduit néanmoins dans le cénacle de la famille impériale. Ce qui déplait fortement à certains aristocrates.
Belle Gueule, de Emma Benestan, 26 minutes
C'est l'été, le Sud. Tous les jours, Sarah, seize ans, vend des beignets avec son père sur les plages. Un soir, elle fait la rencontre de Baptiste.
Sauf le silence, de Léa Fehner, 14 minutes
Juste après l’arrestation et l’incarcération de son mari, une jeune femme, chagrin et colère mêlés, tente de garder la tête hors de l’eau.
La Fin du dragon, de Marina Diaby, 26 minutes
Trois frères et soeurs, qui n'ont pas grand-chose en commun, sont réunis autour de leur mère, plongée dans le coma, et qui n'a plus que quelques jours à vivre.
Aïssa, de Clément Tréhin-Lalanne, 8 minutes
Aïssa est examinée par un médecin qui déterminera si elle est majeure, et donc expulsable du territoire français.